J-M Benjamin with Tareq Aziz

Non bisogna scambiare i ragazzi del buon Dio per delle anatre selvatiche 

"Non bisogna scambiare i ragazzi del buon Dio per delle anatre selvatiche " è una celebre frase e il titolo di un film di un famoso sceneggiatore francese, Michel Audiard (1920-1985). Perfettamente attuale.

Se seguite le notizie della guerra in Ucraina sui media (TV-radio-giornali) avrete certamente notato che i giornalisti e gli "esperti" ci dicono che in Ucraina muoiono solo soldati russi e civili ucraini.. Non muoiono soldati ucraini.

Durante la guerra di invasione dell'Iraq di G. W. Bush, nel 2003, è avvenuto il contrario. I media ci hanno comunicato il numero di morti americani (esattamente 4.301 dal 2003 al 2009), ma non c'è stata una sola vittima irachena! In realtà, hanno ammesso che ci sono stati alcuni "effetti collaterali", perché, come ho già scritto, gli iracheni morti sono "effetti collaterali", gli ucraini morti sono esseri umani.

Infatti, è facile verificare. Quando gli americani bombardano, non ci sono vittime civili perché le bombe americane, ci dicono, sono "intelligenti". D'altra parte, quando i russi bombardano muoiono solo i civili, perché come sappiamo le bombe russe sono "stupide".

Nel 2004, quando un giornalista chiese al generale Tommy R. Franks, capo delle operazioni militari in Iraq, quante fossero le vittime civili irachene, il coraggioso generale rispose: "Non lo sappiamo, non le contiamo". Non è meraviglioso?
Il problema in Occidente è pensare che i diritti umani siano solo per i bianchi. Soprattutto in America, i neri ne sanno qualcosa.

Abbiate pazienza, leggete questo.
Nel 1999 l'UNICEF ha pubblicato un rapporto in cui si affermava che l'embargo sull'Iraq causava la morte di 5-6.000 bambini ogni mese (dal 1991 al 2003, 600.000 bambini). Quando un giornalista chiese all'allora Segretario di Stato Madeleine Albright (1937-2022) della morte di migliaia di bambini a causa dell'embargo, Albright rispose: "Ci dispiace, ma è il prezzo da pagare».
L'orrore in tutto il suo splendore!
Immaginate le reazioni in Occidente se oggi Putin facesse lo stesso tipo di dichiarazione.

Che i nostri media (e un gran numero di politici) prendano il popolo per "anatre selvatiche", direi ancora di più, per analfabeti e coglioni, è fuori dubbio.

Morale della favola: non è solo il vaccino anti-covid a uccidere - ecco perché non ci viene mai data la percentuale di morti vaccinati, contaminati o meno -, è come per le guerre, tenere il popolo nell'ignoranza e manipolare le coscienze per farne dei cretini saggi e obbedienti può causare la morte cerebrale, molto più efficace delle bombe.

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«Faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages» est une célèbre phrase et titre d’un film d’un fameux scénariste français, Michel Audiard (1920-1985). Parfaitement d’actualité.

Si vous suivez l’actualité de la guerre en Ukraine sur les Médias (TV-radios-quotidiens) vous avez certainement remarqué que les journalistes et «experts» nous racontent qu’en Ukraine ne meurent que des soldats russes et des civils ukrainiens. Pas un mort de soldat ukrainien.

Durant la guerre de
G. W. Bush d’invasion de l’Irak en 2003 s’était le contraire. Les Médias nous disaient le nombre de morts américains (exactement 4.301 de 2003 à 2009), mais il n’y avait pas une seule victime irakienne! En vérité si, ils admettaient qu’il y avait quelques «effets collatéraux».Car, comme je l’ai déjà écrit les irakiens morts sont des «effets collatéraux», les ukrainiens morts sont des êtres humains.

En fait, c’est facile à vérifié. Quand les américains bombardent il n’y a pas de victimes de civils car les bombes américaines, nous disaient-ils, sont «intelligentes». Par contre, quand les russes bombardent il n’y a que des civils qui meurent, car comme nous le savons les bombes russes sont «stupides».

En 2004, à la demande d’un journaliste qui demandait au général
Tommy R. Franks, qui dirigeait les opérations militaires en Iraq, combien il y avait de victimes de civils irakiens, le brave général a déclaré «Nous ne le savons pas, nous ne les comptons pas». N’est-ce pas merveilleux!
Le problème en Occident c’est de penser que les Droits de l’Homme c’est uniquement réservé au êtres humains à la peau blanche. Surtout en Amérique, les noirs en savent quelque chose.

Ayez patience, lisez ça.

En 1999 l’UNICEF publia un rapport qui spécifiant que l’embargo à l’Iraq provoquait chaque mois la mort de 5 à 6.000 enfants (de 1991 à 2003, 600.000 enfants). À la demande d’un journaliste à Madeleine Albright (1937-2022) à l’époque secrétaire d’état, lequel journaliste soulignait la mort de milliers d’enfants pour cause d’embargo, la Albright répondit «Nous sommes désolés, mais c’est le prix à payer. L’horreur dans toute sa splendeur! Imaginez les réactions en occident si aujourd’hui Putine faisait le même genre de déclaration.

Que nos médias (et un grand nombre d’hommes et femmes politiques) prennent le peuple pour des «canards sauvages», je dirais même plus, pour des illettrés et coulions, ça ne fait aucun doute.

Morale de l’histoire: il n’y a pas que le vaccin anti-covid qui tue - c’est pourquoi on ne nous donne jamais le pourcentage des morts vaccinés, contaminés ou pas -, c’est comme pour les guerres, entretenir le peuple dans l’ignorance et manipuler les consciences pour en faire des crétins sages et obéissants peut provoquer la
mort cérébrale, beaucoup plus efficace que les bombes.